dimanche 18 octobre 2015

The English gentleman


                         Le grand artiste, designer et écrivain William Morris, a essayé de recréer, par son travail, une utopie de bien-être de l'homme, dans sa vision néoromantique de la société anglaise de cette époque. Il a prétendu un environnement quotidien créé et produit pour le plaisir sensoriel et esthétique, étant accessible à tous, sans coûts élevés.


               Il a étudié l'architecture, l'art et la théologie à Oxford, où il a rencontré le critique d'art et médiéviste John Ruskin (1819 à 1900), qui l'influence sur ses fins esthétiques et culturelles pour le reste de sa vie. Une autre grande influence a été du groupe « Pré-Raphaelitas », un ensemble des artistes qui s’est opposé à l'art académique Anglaise de l'influence de la renaissance et prêchaient un retour à une pureté de l'art et de l'idéalisme romantique médiévale gothique, à cause des idées de ce groupe Moris a fondé, ce qui serait appelé le mouvement Arts & Crafts, en 1861.
                         
          L’Arts & Crafts est un déclencheur pour une nouvelle façon de penser le design, dans la conception des produits et dans l'architecture. Il produirait une grande collection d’empreinte pour les tissus, papiers peints, du verre et des meubles colorés. Les créations pour les tissus sont clairement inspirées par la conception médiévale, recréant le gothique comme un graphique moderne et son thème de la nature a abouti des impressions qui ont habillé l'art nouveau européen (toutes leurs conceptions sont commercialisées aujourd'hui encore). 

Les conflits et les aspirations que William Morris a nourri par rapport à son temps et de ses contemporains, il a enregistré dans les livres qu'il a écrits au long de sa vie, par exemple : « Tales From Here Now », un roman utopique d'un monde parfait et impossible. Sa littérature a influencé  grands écrivains, en particulier CS Lewis (1898-1963), le créateur de « Narnia » et le créateur de « LeSeigneur des Anneaux » JRR Tolkien (1892-1973). En 2003, la beauté de ses impressions était l'objet de la maison italienne Prada et aussi le thème d'AlexanderMcQueen.







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